Chaque année, plus de 700000 cas de varicelles sont recensés en France. Très fréquente chez les enfants âgés de 2 à 10 ans, la varicelle est une maladie infectieuse et très contagieuse qui apparaît dans 90% des cas durant l’enfance. Cette maladie survient sous forme d’éruption de vésicules sur la peau et les muqueuses. Le plus souvent bénigne, elle peut, dans certains cas, provoquer des complications graves. Mieux connaître les signes et les symptômes vous permet de prévenir la maladie.
Sommaire
La varicelle est une maladie causée par le VZV (virus Varicelle-Zona) qui a la particularité d’être très contagieux. Elle se transmet de différentes manières :
Mais attention ! Votre enfant est déjà contagieux deux jours avant l’apparition des premières lésions et risque de contaminer d’autres membres de la famille. En effet, une personne est contagieuse 24 à 48 heures avant l’apparition des premiers boutons.
Selon le réseau de surveillance de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et l’Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes) , les épidémies de varicelle surviennent principalement à la fin de l’hiver et au printemps. Une période propice à laquelle vous devez redoubler de vigilance pour protéger leur enfant.
Important: la transmission du virus est également possible à partir d’une personne atteinte d’un zona localisé. La contamination se fait à partir des lésions cutanées du zona.
Difficile de reconnaître les premiers signes de la varicelle, car ils sont semblables, à s’y méprendre, à des affections banales et répandues chez les bébés et les jeunes enfants.
Un nez qui coule, par exemple, peut-être un des premiers signes de l’arrivée imminente des boutons de varicelle. Mais tous les enfants ou presque, ont le nez qui coule, n’est-ce pas ?
Autres signes annonciateurs de la varicelle, une fièvre peu élevée et des signes de fatigue durables… Ici encore, il est difficile pour vous parents, de poser un diagnostic, tant ces maux sont récurrents en bas âge.
Si votre enfant peut déjà parler et qu’il se plaint en plus de maux de gorge et/ou de douleurs musculaires, vous devriez commencer à avoir la puce à l’oreille. S’il n’a plus faim, et est grincheux, ce sont des indices supplémentaires.
Il faut compter entre 10 à 20 jours entre le contact avec le virus (type zona) et l’apparition des premiers symptômes. Il s’agit de la période d’incubation. Ainsi, si votre enfant contracte la varicelle, il se peut qu’il développe une fièvre modérée (entre 37,5°C et 38°C), et qu’apparaissent des douleurs abdominales.
Soyez donc vigilant si vous voyez apparaître d’autres symptômes moins évidents mais qui accompagnent également une varicelle, tels :
Ces symptômes sont les premiers signes avant l’apparition, un ou deux jours plus tard, de lésions cutanées et de fortes démangeaisons qui caractérisent la maladie.
Au départ, des taches rosées sont visibles sur la peau, principalement sur la nuque, le thorax, le ventre ou le dos puis le reste du corps. Elles se transforment ensuite en lésions puis en vésicules contenant un liquide transparent. C’est justement ce liquide qui est le plus contagieux.
Remarque : Il faut savoir que le nombre de boutons est variable, il peut s’agir de quelques vésicules de varicelle ou alors des poussées recouvrant tout le corps.
L’un de ses camarades a toussé et quelques gouttelettes de cette toux ont suffi à le contaminer.
Il est maintenant dans ce que l’on appelle la période d’incubation. Mais de quoi il s’agit exactement ?
La période d’incubation est le délai entre le début de la contamination et les tout premiers symptômes. Le liquide contenu dans les lésions étant particulièrement riche en particules virales, un simple contact cutané peut transmettre le virus. Si, par exemple, l’enfant touche à une cloque ou à une croûte humide de l’un de ses camarades ou ses frères et soeurs, lui aussi, aura toutes les chances d’être contaminé.
Elle dure environ de 10 à 21 jours. Ce délai permet le développement du virus dans son organisme. Bien que votre enfant ne présente AUCUN symptôme de la maladie, il est déjà très contagieux durant toute cette période.
Si la période d’incubation est longue et passe inaperçue, la durée des signes cliniques dure en principe entre 7 et 12 jours.
L’éviction de l’école n’étant pas obligatoire, mais fortement recommandée, armez-vous de patience et tentez d’organiser au mieux votre emploi du temps pour garder votre enfant bien au chaud !
Pour éviter la contagion de votre enfant, mais aussi celle de votre famille, quelques consignes simples doivent être mises en place rapidement :
La varicelle touche généralement les enfants de moins de 15 ans. Si votre enfant se situe dans cette tranche d’âge, il est donc très probable qu’il soit contaminé tôt ou tard.
Aujourd’hui, pour prévenir ces complications, rares mais très agressives, le Haut Conseil de la santé publique recommande de vacciner les adolescents de 12 à 18 ans n’ayant pas d’antécédents de varicelle. Cette vaccination est d’autant plus importante que la fréquence des complications augmente avec l’âge.
En France, L’Institut de Veille Sanitaire, l’INVS, recense chaque année 3000 hospitalisations et 20 décès dus à la varicelle, toutes tranches d’âge confondues (enfants, adolescents et adultes).
Vous n’avez jamais eu la varicelle et vous redoutez cette maladie ? Bonne nouvelle, il existe un vaccin réservé aux personnes n’ayant jamais eu la varicelle. En France, la vaccination contre la varicelle n’est pas recommandée de façon systématique chez les nourrissons étant donné qu’elle est très souvent contractée à cette période.
Il est donc recommandé de se faire vacciner contre la varicelle entre 12 ans et 18 ans.
Il est d’autant plus recommandé aux personnes en contact avec les enfants (crèches, aide sociale à l’enfance …)
Il existe deux vaccins pour la varicelle en France : il s’agit de Varilrix® et Varivax®. Ces vaccins sont connus pour leur efficacité : 95% de protection après les deux doses. Pour se faire vacciner, n’hésitez pas à consulter votre médecin ou une sage-femme.
Bon à savoir : si vous ne savez pas si vous avez eu la varicelle durant l’enfance : il est possible de savoir à l’aide d’une prise de sang. Celle-ci déterminera si vous avez des anticorps (sérologie) ou non contre la maladie.
Fièvre, apparition de lésions cutanées, démangeaisons… doivent vous alerter.
Même si la varicelle est la plupart du temps une maladie bénigne, il est recommandé de consulter un médecin dès l’apparition des premiers symptômes. Vous pouvez prendre rendez-vous avec votre médecin traitant ou votre pédiatre.
Vous devez également faire attention si :
Une fois le rendez-vous pris, le médecin va vous expliquer les étapes à suivre pour prendre soin des boutons et faire baisser la fièvre. En cas de varicelle aggravée, votre médecin peut prescrire :
Dans de rares cas, la varicelle peut faire l’objet de complications. En cas de changement de comportement chez votre enfant par exemple, si celui-ci présente des troubles de l’équilibre, une fièvre élevée, ou un état confus, contactez le service d’aide médicale d’urgence en composant le 15 ou le 112.
La varicelle, comme beaucoup de virus, peut provoquer un peu de fièvre. Souvent modérée, elle ne nécessitera pas forcément de prise médicamenteuse. Il suffit parfois de faire en sorte que l’enfant ne soit pas trop couvert, afin que la chaleur s’évacue.
En cas de maux de tête ou de sensation de courbatures, c’est le paracétamol qui devra être utilisé en première intention.
L’aspirine et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (risque de surinfection) sont formellement contre indiqués en cas de varicelle. L’aspirine ou les produits en contenant, sont totalement contre-indiqués en cas de varicelle, cette association pouvant être responsable du syndrome de Reye. Cette maladie rare et grave peut endommager le foie et le cerveau.
Si avec ces recommandations la fièvre persiste au-delà de quelques jours vous devez consulter votre pédiatre car il y a des risques de surinfection bactérienne.
Attention : Tout bébé de moins de 6 mois ou étant immunodéprimé devra faire l’objet d’une consultation en cas de varicelle. En effet, son organisme ne dispose pas encore de toutes les armes pour faire face à cette infection, il faut donc surveiller de près l’évolution de la maladie.
Attention aussi aux enfants qui se grattent trop. Il est vrai que les démangeaisons sont assez difficiles à supporter, mais le grattage peut provoquer des lésions. Ces dernières sont de véritables aimants à bactéries et peuvent causer des infections supplémentaires.
Bon à savoir : La varicelle est un virus. Il est donc inutile de prendre des antibiotiques, efficaces uniquement contre les bactéries.
Au départ, des petites taches rouges apparaissent généralement au niveau du thorax, puis se répartissent sur le corps, et en dernier sur le visage. Elles se transforment ensuite en vésicules remplies d’eau avant de former une croûte qui tombera d’elle-même.
Néanmoins, si cette croûte ne tombe pas naturellement, le derme ne peut se reconstruire. C’est alors qu’apparaît le risque de cicatrices.
Elles peuvent parfois rester présentes sur le long terme, et de manière irréversible, ce qui n’est pas esthétiquement souhaitable pour les jeunes. De plus, si l’enfant se gratte vraiment trop, avec des mains ou des ongles sales par exemple, il peut aussi y avoir un risque de surinfection.
Dans tous les cas, si votre enfant présente de la fièvre ou en cas d’infection suite à une varicelle, mieux vaut consulter votre médecin.
Lisez également notre article sur les différentes étapes de la varicelle pour en savoir plus.
Pour soigner la varicelle, les professionnels de santé prescrivent généralement une solution antiseptique locale. A appliquer sur les différentes vésicules, celle-ci permet de limiter le risque de surinfection et de complications liées à la varicelle.
Si votre médecin ou votre pédiatre constate une surinfection, il pourra prescrire un traitement antibiotique oral à votre petit.
Les professionnels de santé peuvent également vous conseiller certaines solutions pour apaiser les démangeaisons et éviter les cicatrices de varicelle.
Ils peuvent par exemple :
Recommandations : Le laboratoire PediAct propose des solutions innovantes, à l’efficacité prouvée, pour le soin des nourrissons et des enfants. Nous partageons ces valeurs avec le fabricant Trimb.
Enfin, si votre enfant conserve des marques de sa varicelle parce qu’il aurait gratté ses croûtes, il vous faudra rester assez patient(e) pour les voir disparaître.
Et bien sûr hydrater régulièrement sa peau par la suite, en évitant les expositions au soleil en période estivale et en le protégeant avec de la crème solaire. Vous pouvez également consulter un dermatologue si ces cicatrices sont toujours présentes et gênent l’enfant en grandissant.
Astuces : Les douches régulières et fréquentes, à raison d’une à deux fois par jour, sont également un bon moyen pour lutter contre les démangeaisons. Elles permettent de soulager l’enfant et sont préférables aux bains puisqu’une présence trop longue dans l’eau pourrait ramollir les croûtes et prolonger la cicatrisation. Utilisez également un savon adapté et dermatologique pendant toute la période de l’incubation.
Si votre enfant n’a pas encore atteint l’âge de la propreté, n’hésitez pas à changer plus régulièrement ses couches afin d’éviter que les boutons ne macèrent à l’intérieur.
Après 10 à 12 jours de contamination, les boutons de varicelle peuvent être nombreux. A la fin de cette période, les vésicules sèchent et forment une croûte brune. Par la suite, la croûte tombe et provoque une tache rosée.
Si la varicelle a évolué en poussées, des vésicules peuvent être encore présentes. C’est seulement dans le cas, où il n’y a pas plus aucune lésion que l’enfant n’est plus contagieux. Il peut à ce moment retourner à l’école et en collectivité plus largement.
Pour éviter les risques de surinfection ou de cicatrices, vous pouvez par exemple :
Quitte à être mis en quarantaine, autant en profiter pour s’amuser ! Votre enfant est malade, la varicelle le rend peut-être un peu grincheux et il risque de trouver le temps long. Profitez-en pour passer du temps ensemble. Bien sûr, il a besoin de repos, mais aussi de s’occuper l’esprit. Voici 4 genres d’activité pour vous aider à lui occuper l’esprit
Rien de tel qu’une activité créative ludique pour redonner le sourire à votre enfant. Vous pouvez par exemple lui proposer de faire :
Votre enfant est un peu patraque et n’a pas envie de dessiner ou de faire de la pâte à sel ?
Vous pouvez lui lire des livres, pourquoi pas sur la varicelle (par exemple Monsieur Farceur a la varicelle ou T’choupi a la varicelle) ou sur d’autres sujets qui lui feront plaisir et le feront rêver.
Vous pouvez également lui proposer d’écrire des lettres à ses amis ou à sa famille, ou juste pour le plaisir d’écrire.
Activité de détente par excellence, la musique relaxera votre enfant et lui donnera envie de danser comme un petit fou. Vous pouvez également lui proposer de regarder un film ou un dessin animé, assis contre vous sur le canapé.
Et si tout ce dont votre enfant avait besoin, c’était de passer du temps avec vous ?
Si votre seule présence lui fait du bien, alors vous pouvez par exemple réaliser une pâtisserie ensemble.
Autre idée, vous sortez les albums de famille et vous commentez les photos avec de petites anecdotes amusantes.
À moins que ce ne soit lui qui ait envie de raconter l’histoire de votre famille à sa façon !
Comme pour toutes les problématiques de dermatologie, les poussées de boutons fragilisent l’épiderme. Une exposition au soleil est donc fortement déconseillée, car cela ne sera pas favorable à la cicatrisation et à la guérison des lésions cutanées.
En cas de varicelle, la ligne de conduite est vraiment de prendre le plus grand soin des lésions en les désinfectant, mais aussi en s’abstenant de les exposer pour éviter les cicatrices.
Malgré ces mises en garde, il est possible de faire des activités à l’extérieur l’été, même en cas de varicelle.
Il faut, par exemple, réduire l’exposition des parties du corps les plus touchées en :
Soyez très vigilant durant les trois semaines suivant le début de l’infection et prenez conseil auprès de votre médecin concernant les crèmes solaires à appliquer.
Il est préférable d’éviter les baignades en eau salée et le contact avec le sable qui risquent de favoriser les démangeaisons.
Recommandations : Si la tentation est trop grande en cas de fortes chaleurs, prenez le temps ensuite de rincer le corps de votre enfant à l’eau douce et de bien hydrater sa peau le soir. Varicelle et bronzage peuvent donc aller ensemble, à condition de prendre des précautions !
Aller à la piscine est également déconseillé à cause de la forte contagion de l’enfant.
Le retour à la piscine avec la varicelle peut se faire une fois que les croûtes laissées par les vésicules sont sèches. L’enfant n’est alors plus contagieux et les risques pour la peau sont moindres. Il est cependant impératif de bien savonner l’enfant après la baignade et de parfaitement lui sécher la peau.
L’objectif est alors de limites les cicatrices. Une fois de plus, le retour à la piscine doit se faire quand l’enfant a bien récupéré et qu’il est en forme. Une varicelle peut affaiblir l’organisme.
Bon à savoir : Pendant la période de contagion, quand la peau est très irritée et les vésicules purulentes, il faut limiter les bains et privilégier les douches. Le savon utilisé doit être doux avec la peau et vous devez parfaitement (et délicatement) sécher l’enfant.
Il est très important, en cas de varicelle, de protéger sa peau du soleil, pour éviter une mauvaise cicatrisation des lésions.
Pensez à prendre votre parasol pour la plage, afin d’obtenir un peu d’ombre pour que votre enfant puisse jouer avec le sable, sans risques.
Évitez les baignades prolongées qui favorisent la macération, en particulier s’il y a encore des croûtes. De plus, l’eau salée creuse… c’est alors l’assurance d’une cicatrice !
Il est possible de se rafraîchir dans l’eau de mer, à condition de bien se rincer le corps à l’eau douce ensuite. Pensez à prendre une bouteille d’eau avec vous au cas où il n’y ait pas de douche à disposition sur place.
Afin d’éviter les surinfections bactériennes, garder dans votre sac de quoi désinfecter et apaiser les lésions de votre enfant. Quelques cotons et un flacon de PoxClin® se glisseront sans soucis dans votre sac à main ! Appliquez régulièrement cette lotion pour apaiser et éviter les démangeaisons. Afin que la peau se régénère bien et pour éviter les cicatrices, pensez à bien hydrater les lésions de votre enfant, en particulier le soir.
Varicelle et zona sont deux maladies similaires causées par un seul et même virus. Cependant, la première est une maladie infantile, tandis que la seconde est une réactivation de la varicelle, qui touche aussi bien les enfants que les adultes.
Alors que la varicelle entraîne une éruption généralisée sur tout le corps, le zona provoque des éruptions cutanées très localisées. Comme le virus est présent au niveau d’un ganglion nerveux, l’apparition des boutons se produit dans cette même région de l’organisme. Elle touche les fibres nerveuses ou les muqueuses. Dans les deux cas, elle est très douloureuse.
Le zona peut toucher les différentes parties du corps, mais le plus souvent, il est localisé sur le thorax (zona intercostal), dans le bas du dos, dans le bas de l’abdomen, dans le cou ou sur le visage.
Il faut savoir que cette maladie est douloureuse, mais souvent sans gravité. En revanche, la vigilance est de mise quand le zona atteint l’appareil génital ou le nerf optique.
Le traitement de la varicelle est plutôt local. Il s’agit souvent de soulager les démangeaisons à l’aide de crèmes ou onguents. Parfois, des médicaments peuvent être prescrits en cas de fièvre.
Par contre, comme le zona est plus douloureux, il est fréquent de se voir prescrire des traitements pour gérer la douleur, du paracétamol en cas de fièvre, un antiseptique pour réduire le risque d’infection et des antibiotiques en cas de surinfection.
À la question « Peut-on contracter deux fois la varicelle ? », la réponse est claire : non, ce n’est pas possible. Cependant, un enfant ou un adulte peut contracter le zona, le virus à l’origine de la varicelle. Celui-ci cause également une éruption cutanée, mais plus douloureuse que la varicelle.
La cause ? L’âge ou une maladie causant une déficience immunitaire. Les anticorps contre le zona ne sont plus produits par l’organisme et réveillent alors le virus en cas d’exposition à ce dernier.
Le Laboratoire PediAct vous propose d’une solution apaisante comme PoxClin® Varicelle. A appliquer sur les boutons, cette mousse apporte un rafraîchissement et un apaisement immédiats. Elle soulage instantanément les démangeaisons de l’enfant et permet ainsi d’éviter les cicatrices définitives. De plus, le produit contient un complexe 2QR, un principe actif dérivé de l’Aloe Vera. Celui-ci bloque les bactéries à la surface de la peau, évitant ainsi leur prolifération et favorisant de la même manière la guérison de l’enfant.
Avis important : Quels que soient les symptômes de votre enfant, il est important de vous orienter vers un professionnel de santé pour vous assurer qu’il puisse bénéficier d’une prise en charge adaptée.